Je ne l'ai croisé qu'à quelques reprises, lors de l'achat de ma Yamaha et des entretiens qui ont suivi (1.000, 10.000 et 20.000 kilomètres).
Et pourtant, ces quelques moments ont suffi à rendre le personnage attachant car, tout en continuant à travailler sur la moto, il prenait le temps d'expliquer ce qu'il faisait et n'était pas avare en anecdotes et en précieux conseils.
Il m'a aussi parlé de sa maladie et j'avoue que j'étais convaincu qu'il en sortirait malgré son état de faiblesse et une certaine fragilité mentale due à cette injustice qui le frappait : à quelques hectomètres de la retraite amplement méritée, il rêvait sans doute de longs voyages avec les siens ...
Je leur présente à toutes et tous mes plus sincères condoléances et beaucoup de courage pour le futur.
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